JTK = Envoyé de mon iPad.
https://albayyader.blogspot.com/ عين إبل في أواخر القرن التاسع عشر ++++++++++++++++++ JOSEPH T KHOREICH -------------------------------
mardi 1 mai 2012
ملاحظات حول وضع الآثار في بيروت
JTK = Envoyé de mon iPad.
dimanche 15 avril 2012
Alfred Barakat.. Rest In Peace!
http://www.youtube.com/watch?v=22EnnbMSwY4&feature=youtube_gdata_player
JTK = Envoyé de mon iPad.
mardi 3 avril 2012
حديقة مريم تجاور كنيسة السيدة العجائبية في النبطية
JTK = Envoyé de mon iPad.
jeudi 29 mars 2012
vendredi 23 mars 2012
dimanche 18 mars 2012
طيف المونسنيور البر خريش بين البطريرك والحكيم
Sent from my iPad
vendredi 16 mars 2012
Que manque-t-il à l’histoire du manuel d’histoire ?
Par Béchara MAROUN | 15/03/2012 - OLJ
La manifestation des étudiants du PNL et des Kataëb samedi avait fait dix blessés. P
POLÉMIQUE La controverse autour du manuel d'histoire est vérité notoire. Aujourd'hui, ce sujet de plainte immémorial au Liban reprend le devant de la scène, et pour cause !
SUR LE MÊME SUJET
La Ligue maronite pour un livre d'histoire unifié
Au Liban, l'Histoire nous apprend qu'elle est elle-même indécise, multiple. À l'instant où se produisent les faits, ils ne sont plus de l'ordre de l'information. Ici, ils subissent invariablement le remaniement de tout le monde, au point de perdre le fil de toute réalité dans un capharnaüm de mensonges. C'est ainsi que l'écriture de ce manuel d'histoire contemporaine devient chose laborieuse.
C'est sous le gouvernement Hariri que la commission ministérielle chargée du projet a entamé son travail. Aujourd'hui, dans un gouvernement monochrome, la commission dirigée par Nicolas Fattouche a voulu finaliser la version proposée du manuel, à « quelques » modifications près. Il semblerait en fait que le ministre Mohammad Fneich ait exprimé le souhait de rehausser le rôle de la résistance chiite dans la version finale, et que le ministre Gaby Layoun s'est interrogé sur l'appellation « révolution du Cèdre », estimant que le Courant patriotique libre (CPL) est l'unique acteur des victoires de 2005. La polémique a incité le ministre Fattouche à abréger le manuel en éliminant toute la période qui a suivi l'assassinat de Rafic Hariri. Samy Gemayel a menacé de « désobéissance scolaire massive ».
La situation a dégénéré lors d'une manifestation au centre-ville des étudiants du parti Kataëb et du Parti national liberal (PNL) où des heurts avec les Forces de la sécurité intérieure ont fait dix blessés. L'incident dénoncé par le 14 Mars, Michel Sleiman et Nagib Mikati a abouti à la suspension du projet de manuel d'histoire, le Premier ministre refusant de valider la version actuelle.
Kostanian
Le 14 Mars aurait plus d'une objection sur la version présentée. Même si le texte n'a pas encore été publié, nous avons tenté d'y retrouver les points de désaccord majeurs. Le membre du bureau politique Kataëb, Albert Kostanian, affirme que « le vrai problème ne réside pas seulement dans les modifications récentes apportées au texte, mais bien dans le texte initial élaboré sous l'égide de Hassan Mneimné, ministre de l'Éducation à l'époque ».
« On peut y noter l'absence totale de la résistance libanaise pendant la guerre du Liban, affirme M. Kostanian. On n'y évoque que celle du Hezbollah. Dans la version présentée, on occulte des faits dont les chrétiens ont été victimes ; si le manuel parle du massacre de Sabra et Chatila et il faut certes en parler, il n'évoque ni Damour ni Chekka. De plus, la guerre des deux ans (1975-1976) n'est pas mentionnée alors que c'est une guerre principale. On parle vaguement des "événements" de Zahlé sans citer le blocus, on parle d'"avoir fait échouer" l'accord du 17 mai 1983 alors que le président Gemayel l'avait lui-même refusé. »
Albert Kostanian explique aussi que le manuel d'histoire proposé présente la période 1990-2005 sous le titre « Le processus de reconstruction et de stabilité », sans évoquer la résistance estudiantine ni l'assassinat de figures chrétiennes, ni l'appel de Bkerké de l'an 2000, ni le Rassemblement de Kornet Chehwan, « comme si tout allait pour le mieux dans le pays à l'époque ».
« Les remarques présentées par les ministres membres de la commission ministérielle comme celle de Gaby Layoun sur l'appellation de la révolution du Cèdre est tout aussi inappropriée. Nous demandons une chronologie objective de la guerre libanaise qui inclut les différents points de vue avec un ton neutre, élaborée par des académiciens aux sensibilités différentes, et que le projet soit discuté par le Parlement et non pas par l'exécutif qui ne représente qu'un seul camp politique. »
D'un autre côté, quelques voix aounistes se sont élevées, jugeant de leur devoir de rappeler aux partis chrétiens du 14 Mars que leur histoire n'a rien d'honorable, rappelant une certaine collaboration avec Israël. Pour Albert Kostanian, il n'y a pas de quoi avoir honte. « Nos actions sont toutes justifiées, explique-t-il. Tout ceci peut être écrit sans problème dans le manuel d'histoire en présentant nos justifications et l'opinion des autres. Cela n'est pas un sujet tabou et nous refusons de l'enterrer. »
Par ailleurs, l'attaché de presse du ministre de l'Éducation Hassan Diab a affirmé par téléphone que « la vraie cause du conflit aujourd'hui ne réside pas dans le récit des événements de la guerre, mais plutôt dans le fait de clore le manuel par l'assassinat de Hariri en 2005. Mais la commission a jugé meilleur de ne pas relater des faits tellement récents comme la révolution du 14 Mars, a dit Albert Chamoun, puisque nous vivons les conséquences de ces événements aujourd'hui encore. Pour écrire l'histoire, il faut du recul ».
L'avis des historiens
C'est ce qu'affirme aussi Ray Moawad, docteur en histoire et auteur de l'ouvrage Les maronites, chrétiens du Liban (2009). « Il faut certainement du recul pour pouvoir écrire l'histoire, en général une dizaine d'années, affirme-t-elle. Il est vrai toutefois qu'elle peut être écrite par des personnes qui ont joué un rôle fondamental dans les événements. Par exemple, de Gaulle et Churchill n'ont pas tardé à écrire leurs Mémoires, mais ils ont voulu écrire leurs témoignages en fait, sans prétendre réécrire l'histoire. Parfois aussi, il faut attendre qu'un processus de justice soit achevé avant de pouvoir écrire, en présentant les hypothèses et en affirmant que ce ne sont que des hypothèses. »
« Pour ce qui est de l'écriture, il faut d'abord relater l'événement tel qu'il s'est passé dans toute sa neutralité, en essayant de décrire les faits. La partie la plus difficile reste leur interprétation qui doit être incluse. Dans un livre d'histoire national, on pourrait accompagner le texte original de deux autres textes ou documents qui présenteraient le vécu d'un certain événement par une faction, et le vécu de l'autre par la faction opposée. Mais comme nous, historiens, n'avons pas encore le texte proposé sous les yeux, nous ne pouvons vraiment le discuter. »
Quand on parle de la guerre libanaise, Mme Moawad voit aussi une toute autre difficulté, celle de pouvoir cerner toutes ses causes, ou même de la définir : « Est-ce une guerre civile ? Ou une guerre des autres ? » « Tout cela est difficile, dit-elle, mais il est largement positif de discuter aujourd'hui le manuel d'histoire. Cela nous pousse à entreprendre un processus de mémoire qui n'a pas encore été fait. C'est un sujet qui devrait être débattu au niveau du dialogue, sans sombrer dans la violence dont nous avons été témoins il y a quelques jours. Le débat est bon, mais sans toutefois traiter l'autre de traître. Il faut partir du principe que l'autre est notre partenaire au présent et dans le futur et cela change tout. »
Quant à la résistance chrétienne, Ray Moawad juge « qu'elle mérite la reconnaissance des autres et qu'elle devrait être présentée comme étant tout aussi nationale que toute autre forme de résistance, sans complexe. Si l'on doit parler de collaboration avec Israël, mieux vaut ne pas parler de traîtrise. Il faut expliquer les circonstances de l'époque ; les chrétiens étaient bien menacés d'extinction. En tout cas, il y a des figures prosyriennes considérées par beaucoup comme des traitres à la cause libanaise ».
Pour finir, le débat est loin d'être clos. Mais les partisans du PNL et des Kataëb estiment aujourd'hui avoir marqué un point. « Nagib Mikati a déclaré qu'il refuserait tout projet sur lequel on ne serait pas d'accord », précise Simon Dergham, président de l'organisation étudiante du PNL. « Nous avons reçu samedi des coups de bâton pour une juste cause. Le manuel d'histoire doit tout simplement être impartial. Pourquoi citer la révolution de Jabal Amel sans citer la révolution du Cèdre ? Pourquoi relater les exploits de Abbas Moussawi et oublier ceux de Camille Chamoun et Pierre Gemayel ? Cette affaire n'est pas négociable, et nous ne nous laisserons pas faire. »
Il convient de noter enfin que les évêques maronites avaient affirmé, le 7 mars dernier, que cette affaire devrait faire l'objet d'un consensus national. « Soit l'histoire du Liban est unifiée, soit on entame un nouveau projet de partition », indiquait le communiqué publié à l'issue de la réunion.
Sur le même sujet
S. Gemayel se félicite de la décision de Mikati de retirer le manuel d'histoire du débat
Réactions des internautes à cet article
- M. Robert Malek et Pierre Hadjigeorgiou, vous avez bien fait ne pas répondre à ces propos provocantes lol. Ce monsieur écrit exprès afin d'attirer des commentaires. Je ne vais pas répondre à ses propos mais j'aimerais dire que OUI une guerre c'est une guerre alors qui n'a pas tué ? si les Gemayel ont collaboré avec le « 3adou al sehiyouni » je vous rappel que « Tsahal » a été acceuilli avec du Riz et des fleurs au Liban-sud à cette époque. Pour votre information, votre commentaire fait nuire à votre culture général et surtout fait perdre de la crédibilité dans la rue chrétienne. Merci de publier.
Élie Khoueiry
- Bien évidemment Ali qu'il faut mentionner tous ces assassinats, tous quels qu'ils soient ! Le problème n'est pas là, c'est qu'il est trop tôt pour écrire un manuel d'histoire sur la guerre au Liban. Il ne peut être écrit sur des suppositions gratuites et sans fondements. La vérité est encore loin d'être connue.
Robert Malek
- Cher M. Farhat, nous sommes prêts a pousser le bouchon aussi loin que vous le vouliez et je suis sur que vous tomberiez de très haut cher ami. Je dirais même de très très haut! Le défi a été lancé a votre ami Hassan Nasrallah et il a baissé le ton la semaine d'après! Mais ne vous inquiétez pas, comme on dit en bon Libanais: "2albna kbir ou bise3 ktir". Nous ferons en sorte que votre choque et chute ne se fassent que sur du duvet! Alors seulement, nous pourrons parler de traîtrise et de collaboration avec ceux que vous prétendiez être vos ennemis.
Pierre Hadjigeorgiou
- Attention de pousser le bouchon trop loin, autrement il faudra également mentionner les assassinats et les actes criminels des FL et de monsieur Geagea ainsi que ceux des Kataeb et la collaboration avec l'ennemi sioniste des Gemayyel! Il faut garder les bonnes mesures pour le bien commun de tous les Libanais.
Ali Farhat
- Il faut que le manuel d'histoire parle de TOUS les evenements du pays en prenant en consideration TOUTES les resistances, TOUS les points de vue. Les versions des deux camps doivent etre incluses, sans parti pris.
Michele Aoun
- - - Je suis entièrement d'accord avec le communiqué des évêques Maronites . On a l'impression que le Helf al Roubahi existe toujours pour les fondamentaux et pour les grandes décisions du pays ........
JABBOUR André
Sent from my iPad
lundi 5 mars 2012
البطريرك الماروني مار بشارة بطرس الراعي: "كيف يكون هناك ربيع عربي ويقتل الناس كل يوم
jeudi 1 mars 2012
Tyr et son patrimoine chretien
Au service de la diversité culturelle
La Cite de Tyr, au sud du Liban actuel, a connu le message chrétien du temps même du Christ et de ses premiers Apôtres et disciples. Les écrits évangéliques et les Actes des Apôtres lui consacrent plusieurs épisodes confirmant son caractère comme berceau du Christianisme et foyer du pluriculturalisme et religieux. Elle avait occupe déjà une place cosmopolite ( on dirait globalisante ) entre les 12 eme et 4 eme siècles avant J.C, notamment par son rayonnement culturel et son influence maritime. Le livre d'Ezéchiel (7eme S. avant J.C.) nous donne une description parlante du niveau de gloire atteint par la cite de Melcart. Quand, dans le monde habité ( l'œcouméné), à l'exception de l'Egypte et de la Mésopotamie bien sur , dominait le modèle du village, Tyr offrait déjà le modèle de la Cite Démocratique avec son système gouvernemental.
L'historien Paul Morand décrit ainsi Tyr et Sidon : « ces deux villages de pécheurs furent une fois toute l'histoire du monde. L'essence de l'esprit méditerranéen, de la science venue de Chaldée, l'art décoratif, l'industrie et le commerce de la race blanche vécurent sur ces deux promontoires, deux mille ans avant le Christ »
Bien qu'elle connaisse très tôt l'enseignement du Maitre Divin, l'Eglise de Tyr ne prospère réellement qu'au 2eme siècle après J.C, quand elle aura eu ses premiers archevêques, ses illustres martyrs et personnalités des divers rangs ecclésiaux et catégories sociales, ses philosophes, ses théologiens et ses juristes, aussi bien païens que chrétiens, auxquels l'Humanité doit beaucoup .Pensons au moins au leg du célèbre jurisconsulte ulpianus fils de Tyr et à son valeureux apport au Droit Humain.
Rappelons que les martyrologes des différentes églises, tant orientales qu'occidentales, ne cessent de célébrer la mémoire des centaines de martyrs tyriens ( dont Christine, Théodosia, Tyranius, les 500 martyrs fêtés selon le calendrier maronite le 19 février, etc…
La basilique de Tyr, dédiée à la Sainte Vierge, la plus illustre dans toute la chrétienté de l'époque, se distinguait par son imposante architecture, son espace et ses admirables décorations. L'homélie de ré-inauguration prononcée alors ( autour de 316) , par l'historien et le témoin oculaire Eusèbe de Césarée, en présence de l'illustre archevêque du lieu Paulinus, nous en livre un témoignage saissant.
En plus de ses éminents pasteurs , Tyr connait aussi parmi ses enfants ou originaires des papes. [ ( deux au moins, Sissinius (708) et Constantin 1er ( 708- 715 ) ] et des patriarches ;Sur son spacieux hyppodrome olympique ont eu lieu des scènes émouvantes de martyres , survenus dans les vagues successives des persécutions romaines ; des conciles régionaux y ont été tenus , entre le 3eme et le 7 eme siècles, dans la mouvance des houleuses controverses christologiques qui ont divise le christianisme en une mosaïque de sectes et de courants de pensée.
Devenue Métropole depuis le règne de l'empereur Hadrien (+113, et située entre Antioche, Jérusalem et Alexandrie, elle en subissait les influences tout en les divulguant par la suite dans les 41 diocèses qui lui étaient affectés, parmi lesquels Sidon, Beyrouth, Byblos, Tripoli etc.
Apres près de 5 siècles de domination musulmane (634-1096) durant lesquels la présence chrétienne s'est presque totalement éclipsée, les vagues successives des croisades ont laisse des empreintes visibles a travers des édifices, des institutions et des écrits inoubliables .La figure d'un Guillaume de Tyr avec son très riche héritage historiographique ainsi que la splendide Basilique à l'intérieur de laquelle se faisaient introniser les Rois croises de Jérusalem demeurent autant de signes qui devraient enrichir les pages de l'Histoire chrétienne de Tyr et de son patrimoine culturel et religieux international.
Si vers la fin du 13eme siècle Tyr sombre dans l'obscurantisme généré par l'occupation des Mamlouks, héritiers de l'armée de Saladin vainqueur des croisades, Tyr , à l'instar des différentes régions du Liban , va s'cheminer , grâce à la politique d' Emirs convertis à ou sympathisant avec la culture chrétienne , (notamment catholique , via le patriarcat et leadership laïc maronite ) , vers un essor socio- économique et culturel qui devait atteindre progressivement ses structures modernes , avec la naissance du Grand Liban ,en 1920.
La prise de conscience de la richesse patrimoniale du sol libanais, et par conséquent de l'archéologie libanaise, dans le cadre de laquelle la ville de Tyr représente depuis toujours un site privilégié, devait amener les chercheurs à multiplier leurs activités , soit dans le cadre d'expéditions officielles et méthodiques , comme celle patronnée par Napoléon III en 1860, dirigée en l'occurrence par des académiciens comme Ernest Renan, soit dans le cadre de recherches improvisées par des antiquaires et des faussaires dont le seul but est la simple recherche de trésors. Le fruit de ces recherches demeure considérable malgré sa dispersion.
Apres l'expédition française, nommée « Expédition de Phénicie » (rapportée dans un ouvrage volumineux et publié entre 1864 et 1875), Tyr, ainsi que l'ensemble du sol libanais, fut l'objet de plusieurs fouilles archéologiques qui ont fait lumière sur les trésors précieux dont une partie fait la richesse du Musée National libanais de Beyrouth.
Malheureusement, menées avec technicité, et dirigée par l'Emir Maurice Chehab, sous la supervision de l'Etat libanais, ces fouilles devaient être suspendues avec l'éclatement des violences au Liban, depuis 1972.Mais malgré tout, de telles fouilles ont contribué a la découverte de l'ancienne ville de Tyr, phénicienne et gréco-romaine, dans laquelle il est fait lumière et pourra l'être davantage, sur un patrimoine chrétien dans l'un de ses berceaux les plus originaux , singuliers et cosmopolites .
Certes une bonne partie du patrimoine a été dilapidée. Mais dans des conditions favorables, il serait toujours possible de sauver le reste, grâce à la contribution d'institutions internationales comme l'Unesco, les institutions concernées par le patrimoine commun des pays méditerranéens, le Conseil des Eglises du Moyen Orient ou autres…
J'ajoute à cela que, ne se réduisant pas aux éléments enfouis dans le sol, le patrimoine englobe aussi les œuvres écrites et picturales, enfouies dans les bibliothèques, les couvents, les divers centres culturels et musées du monde. Le patrimoine de Tyr est riche sur ce plan. De nos jours il n'est plus impossible de le restituer et regrouper dans un espace déterminé sur le sol même de Tyr.
Une telle tache, aussi ambitieuse parait-elle, est énormément facilitée de nos jours par le recours aux nouveaux moyens de communication (internet et autres techniques du numérique).
La prise d'une décision claire et une bonne gestion concernant un tel projet pourrait le rendre concret.
Parmi ses avantages on peut avancer, dans le contexte de doute et d'appréhension issus du prétendu « printemps arabe », touchant actuellement la majorité des chrétiens d,Orient :
-Le christianisme est chez lui, enraciné, en Orient.
-Aucune autorité ni force ne peuvent justifier son deracinement
- Il est autant un devoir, pour la famille Internationale, qu'un droit inaliénable pour les chrétiens d'Orient de pouvoir vivre en paix et dans la dignité humaine sur le sol de leur berceau historique et géographique.
« Les chrétiens font partie de l'Histoire de l'Orient ; il ne peut être question de les arracher à cette terre." a dit le President francais .
Sans cette garantie , les principes des Droits de l'Homme, fondement de notre Civilisation, deviennent des notions vides de sens.
j.T.Khoreich , fevrier 2012
J.T.Khoreich